J'vous trouve tellement superbes que je me permets de vous faire parvenir la toune «Sukiyaki» de l’oriental chino-japonais Miyagawa "Yasushi" Hiroshi (1931-2006), traduite et interprété par la très connue Maude Malade, «SOUS UNE PLUIE D’ÉTOILES» :
Sous une pluie d'étoiles, douce pluie d'étoiles
Nous écoutions tous les deux chanter les cigales
Nous étions seuls, seuls dans la nuit
Perdus sous une pluie d'étoiles
Mon coeur s'est laissé prendre là dans l'herbe tendre
Ou nous rêvions tous les deux sous la lune pâle
Qui souriait dans son palais
Vêtue d'un long manteau d'étoiles
Ue o muite arukou
Namida ga kobore naiyouni
Omoidasu harunohi
Hitoribotchi no yoru
Ue o muite arukou
Nijinda hosi o kazoete
Omoidasu natsunohi
Hitoribotchi no yoru
Shiawase wa kumo no ueni
Shiawase wa sora no ueni
Ue o muite arukou
Namida ga kobore naiyouni
Nakinagara aruku bla... bla... bla...
Marcel, en Chine, n’oublie jamais le proverbe des Hell’s suivant : le revers de ta main c’est «assez fort pour lui, mais conçu pour elle»…
Je rigole… Vous savez très bien que ce ne sera jamais le cas.
Faites-moi savoir quand vous aurez l’occasion de vous faire de la bouffe. Je vous enverrai ma recette de Ravioli au Won Ton. J’ai même la version au beurre de pinottes !
Émilie aurait Été Contente de voir les pandas.
RépondreSupprimerElle adore ça.
Je Vais Lui Montrer les.
Salut!
J'vous trouve tellement superbes que je me permets de vous faire parvenir la toune «Sukiyaki» de l’oriental chino-japonais Miyagawa "Yasushi" Hiroshi (1931-2006), traduite et interprété par la très connue Maude Malade, «SOUS UNE PLUIE D’ÉTOILES» :
RépondreSupprimerSous une pluie d'étoiles, douce pluie d'étoiles
Nous écoutions tous les deux chanter les cigales
Nous étions seuls, seuls dans la nuit
Perdus sous une pluie d'étoiles
Mon coeur s'est laissé prendre là dans l'herbe tendre
Ou nous rêvions tous les deux sous la lune pâle
Qui souriait dans son palais
Vêtue d'un long manteau d'étoiles
Ue o muite arukou
Namida ga kobore naiyouni
Omoidasu harunohi
Hitoribotchi no yoru
Ue o muite arukou
Nijinda hosi o kazoete
Omoidasu natsunohi
Hitoribotchi no yoru
Shiawase wa kumo no ueni
Shiawase wa sora no ueni
Ue o muite arukou
Namida ga kobore naiyouni
Nakinagara aruku bla... bla... bla...
Marcel, en Chine, n’oublie jamais le proverbe des Hell’s suivant : le revers de ta main c’est «assez fort pour lui, mais conçu pour elle»…
Je rigole… Vous savez très bien que ce ne sera jamais le cas.
Faites-moi savoir quand vous aurez l’occasion de vous faire de la bouffe. Je vous enverrai ma recette de Ravioli au Won Ton. J’ai même la version au beurre de pinottes !
On vous becque
À ta leurre
Moâ (pis Elle...)
Vraiment beaux ces pandas.
RépondreSupprimerJe trouve que vous vous débrouillez très bien et que vous n'avez peur de rien. Vous êtes faits "forts".
Je vous suis tous les jours et vous nous régalez avec vos superbes photos.
Au plaisir de vous lire de nouveau.